Distichodus kasaiensis and D. ingae, two new distichodontid species (Characiformes: Distichodontidae) from the Congo basin
Authors
Tuur Moelants*, Jos Snoeks* and Emmanuel Vreven*,**
Abstract
Two new distichodontid species are described, Distichodus kasaiensis, from the Kasai River system and D. ingae, from Inga on the Lower Congo. A redescription of D. atroventralis is also provided and a lectotype is designated. These three very similar species differ from their congeners in having an inferior mouth, a high number of lateral line scales in front of the end of the hypural complex (57-73), a high number of pelvic-fin rays (10-11, generally 11), a low number of blackish, vertical bars on the flanks (6-9) and blackish pelvic fins. The latter two characteristics are only diagnostic for specimens smaller than about 200 mm SL, as these dark markings appear to fade in large specimens. Distichodus kasaiensis is distinguished from D. atroventralis by having more dorsal-fin rays (27-29 vs. 22-24), fewer teeth in the outer row of the upper jaw (15-25 vs. 18-36), and by its longer dorsal-fin base (24.9-33.7 % SL vs. 20.1-28.8). The partial overlap for the latter two characters is due to positive allometry.
Distichodus kasaiensis is distinguished from D. ingae mainly by having fewer lateral line scales in front of the end of the hypural complex (57-65 vs. 69-73) and more dorsal-fin rays (27-29 vs. 26). Distichodus ingae is distinguished from D. atroventralis by having more dorsal-fin rays (26 vs. 22-24), and longer dorsal (23.6-24.2 % SL vs. 12.0-21.9), anal (16.9-17.5 % SL vs. 9.9-15.7) and pectoral (21.6-22.7 % SL vs. 14.2-20.5) fins.
Deux nouvelles espèces de distichodontides sont décrites, Distichodus kasaiensis du système du Kasai, et D. ingae de Inga, Bas Congo. Une redescription de D. atroventralis est également proposée et un lectotype est désigné. Ces trois espèces très semblables peuvent être distinguées de toutes les autres espèces de Distichodus par leur bouche infère, leur nombre élevé d’écailles sur la ligne latérale avant la fin du complexe hypural (57-73), leur nombre de rayons à la pelvienne plus élevé (10-11, généralement 11), le petit nombre de barres verticales noirâtres sur les flancs (6-9) et leurs nageoires pelviennes noirâtres. Ces deux particularités du patron de coloration, pâlissant chez les spécimens plus grands, ne sont valables que pour des spécimens de moins de 200 mm LS environ. Distichodus kasaiensis peut être distingué de D. atroventralis par le nombre de rayons à la dorsale plus élevé (27-29 vs. 22-24), le nombre de dents à la rangée extérieure de la mâchoire supérieure plus faible (15-25 vs. 18-36) et la base de la nageoire dorsale plus longue (24,9-33,7 % LS vs. 20,1-28,8). Le chevauchement partiel pour ces deux caractères est causé par l’allométrie positive. Distichodus kasaiensis peut être distingué de D. ingae par le nombre d’écailles sur la ligne latérale avant la fin du complex hypural plus élevé (57-65 vs. 69-73) et par le nombre de rayons à la dorsale plus élevé (27-29 vs. 26). Distichodus ingae peut être distingué de D. atroventralis par le nombre de rayons à la dorsale plus élevé (26 vs. 22-24), et par la longueur de la dorsale (23,6-24,2 % LS vs. 12,0-21,9), de l’anale (16,9-17,5 % LS vs. 9,9-15,7) et de la pectorale (21,6-22,7 % SL vs. 14,2-20,5), toutes plus longues. * Royal Museum for Central Africa, Section of Vertebrates, Ichthyology, Leuvensesteenweg 13, B-3080 Tervuren, Belgium, and KU Leuven, Department of Biology, Laboratory of Biodiversity and Evolutionary Genomics, Deberiotstraat 32, B-3000 Leuven, Belgium. E-mail: tuurmoelants@hotmail.com; jos.snoeks@africamuseum.be; emmanuel.vreven@africamuseum.be
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